ou n' étais ce que dans son esprit ? je me le demander souvent ... mais dans mon logique je dis souvent qu'il ne faut pas tout croire , ni juger et je voudrais jamais songer qu'un mourant pouvais me dire des histoires car il savais ce qu'il disais, les noms nommés... les rue qui on étais existé... et même certaine année... il se souvenais très bien il étais en pleine conscience ... on dis en réalité que tous en ces moments , ceux qui s’apprêtent a partir , reprennent leur esprits et savent très bien ce qu'ils disent....je ne pouvais décoller mon regard du sien , on dirais que je lisais son livre de vie dans son iris de couleur marron ... je voyais ses images se dérouler devant moi comme une bande de cinéma , il nous raconter des histoires, celles qui ne pouvais jamais nous compter étant , nous, petits , chaque jours et une autre .. se souvenais de ses voyages en Allemagne, en France, en Belgique , même le parc avec les animaux , il s'est souvenu !!!!
que des souvenirs pour lui , et c' étais certain qu'il voulais allonger la durée de sa vie, car dans son répertoire , il avais beaucoup a dire ...
il étais revenus très en arrière , le temps de son service militaire , et après en passant a la guerre de Corée , c'est marrant , je me souvient encore ce que ma mère lui disais , que pour l’énerver!!! Christophe tu feras bien de te rendre encore une fois a la guerre et revenir encore une fois blessé ...comme ça tu aura deux balles de fusils dans ton coffre!!!
........il racontais enfin l’histoire du père dont on voulais connaitre .....
Un passage docile
Ecrit d’evangelia fourlis
Mes larmes pensives
Dans un passage docile
Je marchais silencieux, chagriné et craintif
Je comptais le bruit de mes pas,
Le battement de mon cœur
Et ça ne me représentais pas
Mais les larmes continuaient me brûler le visage
Et je suivais ce couloir sage
Me demandant pourquoi étais-je-la
Je ne voyais personne passait par la
Ce bruit qu’ on entendait au fond
Me faisait mal mais je continuer avec bas le front
Le silence aussi me tuait,
J’escortais un voyage irréel
J’étais sur une frontière dans le ciel
Sur une façade légendaire, ancestral…
La vie absente dans mon cœur
M’avais pris tout bonheur,
Le silence de ma fatigue montait a mes oreilles
Me suivait dans cette nuit d’aventure
En ce chenal de peur et de rêve.
Mais aussi on dirait que c’étais la vie et la mort ensemble..
Une utopie, un monde d’ailleurs, un tableau merveilleux de peinture…
La lune reflétait et réduisait mon sentier
Cette minceur m’a fais sentir les cicatrices de ma douleur perdu
Une complice d’un soir délirant que j’avais déjà vécu.
Un coucher de soleil orange jaune et rouge,
Un dernier sourire du soir avant ce coucher
Un souffle d'air frais, vint me surprendre
Avec une douce touche de poussière colorée
Qui se dressait sous ma marche comme pour me montrer
Des pas jaunâtres devant moi, une foule d’ombres
Qui marchaient devant moi …..
Un sourire d'ivoire décrit la dernière étape
L’esprit s’envole a la recherche d’une goutte de vie
Mais l’âme reste quand elle voit ton tissage qu ’il lui sourit,
Ainsi finit cette histoire de ce tableau que j’ai mis
Ce n’est pas des souvenirs ce n’est pas des mémoires
C’est pour une âme qui est partit……

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