lundi 13 juin 2011

un passé dans le passé ..


un passé dans le passé ..
comme c'est drôle comment la vie passe , elle s'effile sous nos pied sans qu'on puisse l'apercevoir ,on crois connaitre tout , mais au fait on ne connais que la moitié...on crois tout savoir... mais ne connais même pas ça famille ... nous nous demandons pour les dons qu'on as , comme par exemple l’écriture , le dons de savoir parler.
je ne m'imaginais jamais qu'a cette age je retrouverais parmi tant de gens de ma citée encore des personnalité de la famille de mon père ... je connaissais qu'il y avais une seule personne , dont elle étais déjà parti pendant la guerre , qui étais poète ,c' étais le seul point que je connaissait , c' étais l'oncle de mon père , qui pendant la deuxième guerre mondial a étais exécuté par les allemands, de ses oeuvre on a retrouver que deux ou trois a peine!!!
si on se rend compte combien de personne te regarde dans la rue, bizarrement, des , jusqu’à hier des étrangers , et leur ressemblance,  les traits de leur visage, leur caractères physique ...il y a quelque chose qui t'attire sur leur présence, qui te parle  et d'un coup tu apprend qu'elle appartient a ta famille...de la septième générations, dont tu ne connais même pas..... personne n'a étais raisonnable de t'en parler!!!
je savais que mon grand père du coté de ma mère , étais émigré en Turquie au ville  d' aksaray et ikonio  , il avais quelque titre et maison , mais après la première guerre mondial et aux année de 1922 a peu prés pendant la guerre de l' indépendance , il a tout laissé titre( conte ou duc ou quelque chose comme ça )
maison et revenu a la patrie sans rien avec lui seulement des rêves perdu!!!!
pour le grand père de mon père je ne sais rien seulement qu'il étais de crête et rien d'autre ....mais surement il avais une grande famille et il étais vendeur de viande , a l' époque, ils étais riches!!! mais malheureusement ou bien heureusement , c'est a la porté de voir les choses , ils sont devenus tous pêchers.....>>>>>

dimanche 12 juin 2011

soucis , peine et joie mélangés , je suis faible pour  partager , faible après toutes ces années de combat pour la vie , je retourne et retourne cette page mais toujours sans trop bien comprendre , ni pouvoir attraper le sens dont je dois prendre .. il me semble que je dois conjuguer , ou trouver une solution logique dans des problèmes de maths , addition , soustraire , multiplication , division .... tel est devenu notre vie ... pour prendre un brin de bonheur , il faut vendre ton âme au diable sinon tu est condamné a vivre a tous jamais dans la misère .. et quand on te demande le pourquoi .... on ne peut comprendre ta réponse ...hier... c 'étais une jour de delire , je n'avais plus envie d’écrire mais seulement de marcher dans les rue de ma ville .... de crier , de hurler ... je connaissais que rien reste semblable au temps d'autre fois , ou régnait la politesse , l'amitié entre ami ou etranger ... tu doublais dans la rue une personne que tu ne connaissais pas , et elle te disais bonne soirée ou passez bonne journée .... elle te tirait son chapeau ... tu marchais dans ton pays et tu ne prenais pas garde a ton dos , tu n'avais pas peur le coin de la rue ... avec les fenêtres ouverte , tu dormais dans ton jardin, ou sur une plage sans la moindre peur de violence .. le soir venu quand tu rejoignais les amis du quartier , et tu voyais des petits groupes , par ci , par la , jusqu’à une certaine heure quíls se rassemblais et faisaient un grand groupe d'amis-etranger ..
mais en ces temps qu'on vie , on croise l'autrui dans la rue et tu lui dis bonsoir , et te regarde mefiant du coin de son oeil.... tu te promene et tu prend garde regardant toujours derriere toi , quand aux fenetres ouvertes !!! pas question!!! ici tu tourne en double clef , et revenant , tu trouve ta maison vide ....rester positive , dans une vie sans suite ...dans une vie qui s'enfuit sous mes pieds
vivant dans ma ville dont que je ne connais plus ... survivant dans ces ténèbres d'aujourd'hui , je cherche en vain de trouver ce qu'on m'a éduqué hier ... la ou je laisserais mes enfants , dans quel monde pourrons t-il vivre??? sur quel débris marcherons t- il ?
mais moi j' étais la, dans ce monde ou j'avais grandis , en essayant de me rappeler les sentiers dont mon père avais passé... tout avais changé... même le bord de la plage , de sa plage....ou il avais grandis ... plus rien n' étais semblable ..maintenant on meure sous le vent du ciment .. on respire l'air du mazout ou du pétrole , on se prend garde même du plus proche parent ... on a plus de confiance même a sois même!!!