dimanche 12 juin 2011

soucis , peine et joie mélangés , je suis faible pour  partager , faible après toutes ces années de combat pour la vie , je retourne et retourne cette page mais toujours sans trop bien comprendre , ni pouvoir attraper le sens dont je dois prendre .. il me semble que je dois conjuguer , ou trouver une solution logique dans des problèmes de maths , addition , soustraire , multiplication , division .... tel est devenu notre vie ... pour prendre un brin de bonheur , il faut vendre ton âme au diable sinon tu est condamné a vivre a tous jamais dans la misère .. et quand on te demande le pourquoi .... on ne peut comprendre ta réponse ...hier... c 'étais une jour de delire , je n'avais plus envie d’écrire mais seulement de marcher dans les rue de ma ville .... de crier , de hurler ... je connaissais que rien reste semblable au temps d'autre fois , ou régnait la politesse , l'amitié entre ami ou etranger ... tu doublais dans la rue une personne que tu ne connaissais pas , et elle te disais bonne soirée ou passez bonne journée .... elle te tirait son chapeau ... tu marchais dans ton pays et tu ne prenais pas garde a ton dos , tu n'avais pas peur le coin de la rue ... avec les fenêtres ouverte , tu dormais dans ton jardin, ou sur une plage sans la moindre peur de violence .. le soir venu quand tu rejoignais les amis du quartier , et tu voyais des petits groupes , par ci , par la , jusqu’à une certaine heure quíls se rassemblais et faisaient un grand groupe d'amis-etranger ..
mais en ces temps qu'on vie , on croise l'autrui dans la rue et tu lui dis bonsoir , et te regarde mefiant du coin de son oeil.... tu te promene et tu prend garde regardant toujours derriere toi , quand aux fenetres ouvertes !!! pas question!!! ici tu tourne en double clef , et revenant , tu trouve ta maison vide ....rester positive , dans une vie sans suite ...dans une vie qui s'enfuit sous mes pieds
vivant dans ma ville dont que je ne connais plus ... survivant dans ces ténèbres d'aujourd'hui , je cherche en vain de trouver ce qu'on m'a éduqué hier ... la ou je laisserais mes enfants , dans quel monde pourrons t-il vivre??? sur quel débris marcherons t- il ?
mais moi j' étais la, dans ce monde ou j'avais grandis , en essayant de me rappeler les sentiers dont mon père avais passé... tout avais changé... même le bord de la plage , de sa plage....ou il avais grandis ... plus rien n' étais semblable ..maintenant on meure sous le vent du ciment .. on respire l'air du mazout ou du pétrole , on se prend garde même du plus proche parent ... on a plus de confiance même a sois même!!!


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire