vendredi 29 avril 2011

10- de la mort de mon père


un mois après le sixième  anniversaire de la mort de mon père.. assise devants cet écran, et tous en vous lisant ,essayant toujours de m'exprimer avec mon écriture , ma pensé cours toujours vers lui , lui qui ne m'avais jamais aidé , lui que tout dans ce monde étais l'argent , il croyait une fois payer qu'il aidais , c' étais une folle opinion qu'il s'avais mis en tête ...  mais moi étant petite je ne pouvais comprendre ses idées ,son esprit ...je ne voulais pas de son argent , mais une caresse paternelle , un gentils mots a me dire , un sourire peut être de lui , il étais toujours la , mais toujours manquant, la tête plongé dans un verre et des ticket de tiercé , il semblais que ca étais seulement sa vie ... après la mort de ma mère , il s' étais éloigné de nous  .famille avais fait son verre et ami la taverne .. on le voyait peu , même trop peu , pourrais je dire... la maison toujours enfermé et lui , absent ou il dormais ... ,mais heureusement, qu'un jours ma sœur , n'ayant plus de logement a du rester a la maison de la grande famille fourlis ... 
c' étais en ces moments qu'on a  mon père , une fois que la maison étais encore une fois ouverte et dépoussiéré de ses fantômes!!!

il étais d'une famille de pécheur de sept enfants a suivre .................
il étais d'une famille de pécheur de sept enfants   ... en ces temps la , la pêche étais favoris comme métier , même maintenant mais comme le monde tourne pas très populaire .. c'étais aussi un don juan de son époque, il aimais bien les jupons, les jeux de chance comme j'avais dis auparavant.. un homme spécial seulement pour les autres mais assez sévère dans la famille ... la seule choses que j'aimais a mon père qu'il s'intéressait tout d'abords que sa famille n'aura aucun de manque pour son pain quotidien et après son divertissement .. et tout cela avais étais changé en France ... en revenant dans nos années au jours que mon père est tombé malade.......année 2002, un ans après la naissance de ma petite Liliane..c'étais un lundi de saint George, tout comme ces jours ci .. je me souvient encore du coup de téléphone que ma sœur a reçu de son grand fils.. je ne sais pas si .. mais pourquoi pas le dire , après tout cela apaisera ma conscience , et laissera en paix son âme .... enfin la saint George , on fêtait le nom de ma grande fille et on étais rassemblé chez moi ... ou ma sœur a eu ce fameux coup de téléphone , son fils était rester a la maison avec mon père déjà vieux , je l'ai vu quelle a changer de couleur mais je ne me soupçonner pas le pourquoi , quand elle a fini ,elle me dis tout nettement que le vieux a fait un  harcèlement sexuel a son fils qui était déjà âgé de 24 ans .. cela m'a étonné car il n'étais pas petit pour ca et si mon père l'aurais fait ! Pourquoi ? mais celui ci . il était déjà malade ,je parle toujours pour le fils de ma sœur , il était soumis de très petit dans les chemins de la drogue!! et mon père ! un homme âgée de 73 ans pourrait il faire cela ? est ce que l'alcool la conduit dans ce genre de sentiment ? mais a son petit fils ? et le petit ? est ce que il était drogué ce jour la? mais je me souvient aussi que mon vieux père se plaignais toujours qu'on lui volait de l'argent !! il les mettais même dans les chaussettes tandis qu'il dormais !!je ne sais pas.. je ne sais plus .. 
ce jour , j'ai tout ramassé de la table et leur a dis d'aller vers lui , tout juste pour voir ce qu'il étais arriver ... et pour qu'il sois aussi a la fête de ma fille ....mais malheureusement pour moi et surtout pour lui , tout cela s'est terminé par des coups de poing et gifle sur mon père !!!!!!!!!!!!!!mon gendre ... le mari de ma sœur ... le ex mari de ma sœur .. le père de ses enfants ... tout ca était ce vrais ou non .. âpres cette bataille, mon père s'est rendu malade ou pourrait-on dire grâce a cette bataille , on a vu qu'il étais malade , on lui a fait des examens et , il lui restait peu de temps a vivre ... hélas .. oui .. malgré les années qu'il nous a donné , je ne voulais pas le perdre , non .........
je me souviens encore , le délire qui m'avais pris de le garder en vie , de le connaitre mieux ...il me devais une vérité et je voulais a tout prix la prendre cette verité... je me suis mis a faire plein de chose , ma sœur et moi et .... mon fils et moi , pour apprendre .. une semaine , je ne lui avais pas parlé , âpres , je lui demandé de montrer la vais âme qu'il caché .. je lui demandais tant de chose a nous raconter , de se souvenir , pour ses femmes , ses voyages , sa jeunesse , sa femme ,ma mère .... je lui ai demandé d'écrire et lui m'a demandé de un papier et un crayons et car il ne voyais pas , il serais mon dicteur ... comme ca , on l'as calmé , et réussi a le garder cinq années avec nous ... mais malgré mes questions pour mon neveu , il ne m'a jamais répondu , la seule réponse que j'ai pris "pourquoi je n'ai rien fais a toi "!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

9- comment oublié

  

comment oublié? quand tout ce qui m'entoure , me retourne au passé ... en ces jours saint tout ce qui me contours me rende bien des années en arrière... la grande semaine , comme on a l'habitude de l'appeler ,les préparations de pacques .. les achats pour ce grand jour... les petits cadeaux des enfants , les grandes bougies ou on allumera le samedi soir a l’église sera la résurrection de jésus ... l'attente des parrains qui viendront avec leur présents pour leur filleuls ... les œufs ou le jeudi les femmes du foyer peindront rouge , le couleur du sang de jésus qui étais tombé sur les pierres ... les petits gâteaux de ce jour ou leurs arômes se disperse dans le quartiers, et le soir de jeudi  , jour de deuil , tous a l' église pour la représentation du crucifix.. comment oublié ? ou maman nous prenais le lendemain matin courir aux églises pour passer sous le coffin ou représentation jésus après être crucifié , trois fois , elle nous disais , le signe de la croix... et le soir ,l'assemblage de toute église sur le quai de la ville , pour le concours du quel sera plus bien orné, avec des fleurs de lilas ou rose des différente couleur.. 
comment oublié ? le marché du samedi pour la préparation de la mageirista le souper du soir ... la grande préparation ou maman devais mettre tout son œuvre , ou elle tentais d'apprendre ses filles , toutes ses traditions comment le cuisiner , c' étais  vraiment une broderie dans la cuisine ... 
devant la porte de cette chambre tout ses icônes me sont venu en tête, comment elle préparait ce dîner qu'on manger deux ou trois fois par ans , car elle méditer toujours de garder des ingrédients prêt pour la préparation dans le congélateur .. 


rien ne peut s'oublié quand maintenant c’étais a mon tours d'apprendre mes filles a faire tout ca , rien ne peut s'oublié quand au chaque geste que je fais me rappelle sa vois .. qui me disait qu'il fallait jouer avec cette préparation toute la journée, ou elle me disait que ce n' étais pas le cuisiner mai de le broder .. comment oublié ?? le soir venu , après l' église , la table déjà prête , et les plats qui nous attendais , ce n' étais pas un souper seulement mais un délire de gout... et les œufs qui nous attendais pour se briser l'un sur l'autre pour dire ce fameux xristos anesti , c' étais un message de bonne nouvelle ...comment oublié ? ou au petit du dimanche , la préparation du grand dîner ... le charbon a sa place et agneau à la broche ... et commencer la grande fête .. papa toujours a table avec son petit verre de vin et déguster des petit morceau déjà cuit .....

8-----en ces jours saints

  


en ces jours saints , je ne cesse de pensé ..des mémoires déjà lointaines mais si proches pour moi , que ces jours la ,me donne un gout amère ...j'avais a peine la trentaine quand ma mère est partie pour son longs voyage , préparer notre passage, nettoyer la route , pour qu'un par un , qu'elle rassemble a nouveau sa famille ...je n'avais jamais vu , je ne pouvais pas croire que cela pouvais arriver a moi ... a une personne que j'aimais plus que mon âme, je la voyais forte , elle n' étais jamais tomber malade , c' étais une personne bien forte comme une pierre,, 
intelligente pour garder sa familles en tout temps et a tout lieu , malgré ses galères ....dans sa cinquantaine et cinq années encore tomba malade d'un cancer .... ce fut le plus grand stage après ma maladie dans ma vie ... handicapée avec les os rongés , elle du rester au lit ... elle ne pouvais plus marcher pour un moment en ce temps .toujours moi dans mes circonstance de courage et volonté, avec l'aide de mes force a ne pas pleurer , et de mon contour qui étais toujours prés, la réussite de la lever pour un , deux , trois, quatre pas étais déjà notre ... elle repris vie sur elle, et je commençai a espérer .. cela dura neuf mois , neuf mois d'espoir , neuf mois seulement elle étais a moi , neuf moi j' espérai que tout cela étais un cauchemar et je me réveillerai ... je me souviens que j'ai eu de la peine , du chagrin , j' étais très attristé .. mais un jour dans mon rêve , elle vit me voir , que pour me dire de vivre et ses leçon a suivre , ses mots a méditer ,a apprendre a vivre sans elle car son chemin fini , elle nous a appris ce qu'on devais apprendre , elle nous a vendu sa philosophie , le savoir vivre de cette vie , c' étais a nous désormais a prendre son d'apprendre et a éduquer , notre âme , nos coeur et avec la sagesse de ces mots , a nos enfants comme héritage a laisser ... cela étais ma mère .. quand a mon père , cela étais une autre histoire , beaucoup différente a celle de ma mère , plus dure a dépassé , selon l'age ou j' étais , trop grande pour comprendre ce que je perdais .. je reviens de suite sur son histoire qu'un petit moment a me retrouver .

 

 

pendant des jours et des jours ,je me demandais ce qui ce passait dans ma famille...le fait du deuil me donner des frisons..j'aimais les vêtement noir mais c'est tout ..il n y avais pas de raison pour les porter , mais d'un coup tout cela avais changé... 
je ne m'étais jamais séparé de ma mère même mariée et tout me semblais d'une fausseté incompréhensible... j'habité a l'autre bout de la ville avec ma famille dont j'avais créer et mes pas au temps des promenades me rendez sur les mêmes chemin d'antan , comme si une voix me conduisait sur cela ... et je marchais dans les plus connu sentier de moi , qui me semblait déjà hantés par les âmes perdu que j'aimais ...sur les trottoirs , les bancs du quartier étaient devenus ombres sur lesquels ombre étaient assis ... certaines avec leur tricots qui n'on pas eu le temps d' être terminé , certaine avec un livre , roman ou policier... et des autres , faisant un petit puits, comme on le dit ici, aimais le bavardages , adoraient a critiquer les uns et les autres ... mais en vains tous ombres!!!! un quartier fantôme, et moi la seule vivante qui marchait entre eux ... je continuais d'avancer tout en me guidant de mon instinct, ou mes pas me conduisait devant ma porte , la ou étais le foyer de la famille , en ayant l'espérance de revoir ce qui m'avais laisser pour toujours ici bas .... si je dormais un mauvais cauchemar ou si c'étais vraiment vrais  ... je transperçais la porte principal pour m'y rendre a la salle a manger , et l’atmosphère dans les chambre étais lourde , les sanglots s'entendais encore dans l'air ... 
au bout de la table se distingué une ombre et.....a l'autre coté un homme sur la table , avec la tête entre ses mains .. il avais un verre de coté , il me semble que c' étais du vin ... c' étais papa qui étais la , il attendais , comme il disait maman ,elle devais venir , il l'attendais !!!!!!! cela étais pendant des années et des années ou il attendais jusqu'au jour ou l'invitation de son arrivage étais vrais !!!!!!!!!!!!!

 

 


7 A PAS LENT



entre réalité et irréalité, le vrais ou le faut, un petit pas seulement, il faut pour y arriver ... qu'un petit pas ... pour traverser cette frontière et se demander si tout ce qu'on vit.. étais au passé, au futur ou au moment réel... une imagination, fantaisie, virtuel, ou tout simplement on se sent emprisonnés de nos sentiments .... la réalité n'est pas loin de l'irréalité ... et l'irréalité n'est pas loin du réel !!!

a pas lent je me suis trouvé sur une  route déjà connu
 je ressentais que toute image étais déjà vu,
les petits chantiers, les fleurs et les jardins, 
au bout de chaque chemin .....
les maisons si bien alignées l'une prés  l'autre 
avec des gamins tout autours de la rue qui jouaient 
des jeux différents par groupes les uns et d'autres seules dans un coin....
tandis qu'un arome de fraicheur se dégager des trottoirs si bien blanchis par les propriétaires de chaque logements .....
a tète basse, regardant mes pas qui avec difficulté se décollaient du sol ...j'avançais sans trop savoir ou  ceux ci voulaient me mener .....le soleil me chauffer le dos et la sueur de mon visage coulait tout le long de ma nuque, tandis que le léger sombre de couleur survêtement que je portais étais humide par la transpiration de mon corps .........rien ne bougeais...........derrière mon dos s'entendais des faibles chuchotements et a chaque arrêts dont je faisais, silence................

Arrivée devants une porte en grille, la porte, couleur marron, mélangé jaune étais écris dessus les initiales, probablement du propriétaire .... Elle s’ouvra toute seule, seulement un petit grincement s’entendit sur ces vaisseaux qui s'attachaient sur le vieux gros mur du jardin ... comme si quelqu'un  m'attendais ...cet endroit me semblait familier... malgré le soleil et la chaleur j'ai ressentis un petit frisson qui me transperçait tout le long de ma colonne vertébrale ....
L’arome de la  chaux qui était étendue sur les trottoirs rayonnant sous le soleil se mélangeait avec celui des rosiers...rose, rouge, jaune couleur de lilas ... quel arome !!!et ces raisins de deux couleur différentes qui se pendaient du ciel.. On dirait que c'étais dieu Dionysos qui te les offraient....
tout droit devant moi, la porte principal de la maison étais ouverte ...
des chaises, a droite et a gauche étais dressées comme si on étais au cinéma ....levant mes yeux au ciel, vint s'assoir aux pieds de la porte une blanche hirondelle ...d'un coup je me suis rendu compte que oui.. cet endroit m'étais  très familier.. c'étais la maison de ma mère, la maison ou elle avais vécu.. la ou elle a grandis, son premier rire , son premier chagrin , la ou ses enfant on vu la lumière du jour excepté un , le plus petit ou sa naissance a eu lieu a l'étranger .. mais ses pleurs et ses peurs, ses larmes étant mariée...la connaissance de mon père...cet homme ,ou elle a donnée tout son amour , son affection de jeune fille , ou elle a acceptée tout les mauvais ou bon traits du caractère de mon père , sans se justifiée a personne , sans rien dire ... la ou mon père , seul après le grand voyage de ma mère est resté , seul avec ses fantasmes a pleuré, compagne avec son verre de vin , comme il ne l'avais jamais fait tant qu'elle étais vivante ....


des personnes vêtus en noir étais dispersés dans tous les coins de la maison, même dans le jardin, il m'apparu d'apercevoir quelques une , mais je ne voulais pas parler , je ne voulais pas rompre ce silence funèbre qui percé la chair.. je voulais gagné chaque moment, chaque minute ne pas perdre l'instant ......
l'instant ou je pourrais garder ces images bonnes ou mauvaises, mais les images de ma vie .. de mes parents de mes frères et sœur, l'années de notre arrivé en Grèce , ou mon petit frère qui ne savais pas parler autre langage que du français (tout comme moi ) devais aller a l'école primaire .. Oh mon dieu, comment il pourra s'en sortir !!!

les heures, jours entières des disputes de maman et mon père.. de ma sœur, quand elle partais avec sa robe de mariée de mon frère , le grand comme l'appelaient mes parents ...quand lui aussi comme fiancé voulais ouvrir sa maison ...des secondes inoubliables ..les chamailles qui se faisait entre mon père et ma sœur que je n'avais jamais compris ... et celle ou , elle déjà mariée avec son mari sont aller a la police pour dire que mon frère étais armé car en France , il travailler comme dans la surveillance de la nuit dans des fabriques... mais aussi les plus images ... quand tous étaient heureux , quand toute la famille se rassemblait autour de la table aux temps des fêtes ... les grandes soirées des grecs , avec la retsina rouge ou jaune , extrait des raisins , et leur mezzedes , différente nourriture comme côtelettes , salade , olives , et du fromage feta , accompagné avec le sirtaki , le tsiftedeli pour les filles et le zebekiko pour les hommes , les vrais comme disais mon père .....






Toutes ses images étais dessinés dans ce silence que je profite de les bien gravé dans mon âme, ou elles resteront a jamais ....
tout au fond de la chambre a coucher, une femme en noir étais assise prés d'un coffin d'ébène...
la maison étais pleine de souvenirs , rien n'avais changer ...deux chambres l'une a droite et l'autre a gauche du couloir qui se terminais sur la grand salle a manger , au fond la cuisine , la ou ma mère faisait ses chef d'œuvre pour régaler la famille ...
tout autours sur le mur suspendu des cadres avec des vielles photos de famille ..je les regardais comme si c'étais la première fois que je les voyais , au centre étais mes grands-parents , mes ancêtres , ceux qui ont grandis avec tant de tendresse et d'amour ma mère , ses parents d'adoptage, tout prés mes parents , qu'ils était jeunes a l'époque !!! ma mère devais avoir 17 ans , l'année de sa connaissance avec mon père ... plus loin , un jeune homme ,militaire , c'étais mon père en sa jeunesse de sa vie de soldat .. il étais beau .  



plus bas un gamin, il étais a peu prés 3 ans , habillé avec l'uniforme traditionnel grec evzone... on dirais que ces gens étais sortit de la belle époque...
mes frères et sœur étaient rassemblé autour de la table , sur le canapé j'ai reconnu la famille de mon père , ses frères ,il en avais sept , cinq seulement étais en vie , la maison était pleine jusque le jardin qui commençait déjà a débordé de gens qui venais voir ce qui ce passait , la plus part que par curiosité ... il me semblait que c'étais encore hier que cela a étais déjà fais, au repos de ma mère , cela étais déjà avant 15 ans ... tout était pareil .. seulement moi qui dans ce temps je comptais 15 ans de plus sur mon dos ... 15 ans d'expérience et je comprenais mieux la signification de la mort ... j'avançais moi aussi peu a peu prés d'elle et cela me faisait tant de peine de savoir que l'homme qui se trouvais dans ce coffin , je ne le reverrais plus jamais, jusqu'a ma fin peut être !!!!

plongé dans mes pensées , j'essayais de rassembler tout mon courage pour aller le respecter , donner mes derniers hommage a son coté , je Fu dans la chambre , toute timide , glacé par des sentiments de peine et de rage car il nous avez laissé , il m'avait laissé .. je ne pouvais m'imaginer que la mort de mon père serais pour moi , un stage de ma vie , qu'elle me ferais tant de chagrin . je ne pouvais esprit comment pouvais je , moi pleuré , pour quelqu'un que normalement je n'avais connu que derrière un verre de vin ... je ne pouvais pleuré mais mon âme saignait....
je me suis mis debout devant ses pieds pour lui donner mes derniers respect comme père qu'il étais et levant mes yeux droit sur le mur au dessus de lui encore un cadre.. une photo , celle de ma mère , plus âgée cette fois qui me sourit ... 
je n'ai pas fais attention, j'ai cru que c'étais la lueur des bougies qui me faisait des fantaisie dans mes yeux ,mais en regardant plus prés , j'ai constaté qu'une larme est tombé de ses yeux... 
elle me parla.. tout en me disant de ne pas pleurer.. il fallait rire , sourire a la vie , car lui , il n'a plus mal , ne souffre plus de ce corps qui étais devenu trop lourd pour son âme , car lui , il  a avouer ses fautes a dieu avant de partir et s'est libérer , il t'a entendu tout le long de tes pleurs et délire quand c'étais l'heure de finir ... son âme est prés de moi , il se sent bien .. il t'envoie ses vœux avec de sa prière de père , qu'ils t'accompagnent  jusqu'au bout de ta vie... ne pleure pas mais chante , chante pour son repos ...
la chambre s'illuminait  d'une lueur qui laissait une faible blanche ombre  qui de son tour a fais son petit voyage , pas très loin , tout prés , et pris sa place dans un coin de la photo ... encore une larme et tombé de ses yeux ... elle laissait la , seuls ses enfants pour ceux qu'elle a condamné sa vie prés de lui a jamais .......
personne ne pourras redonner ce gout a cette maison .. cette ancienne liaison qui se relier du temps d'antan ou rire , pleurs joie ou malheur faisais une famille .. pour le bien ou le pire !!!!





6---------..ca c'est moi .... Eva ..





ce n'est qu'un petit résumé de ma vie .. celui que je veux laissé voir ...les instants les moments, étais très particulier  a penser qu'ici en Grèce pendants mon traitement avec tout ces médicaments , quand j'entendais le pas de mon père venir , je me cachait derrière le frigo , je fermais les oreilles avec mes main et murmuré de s'arrêter, et après je cherchais mes calmants....j'ai réussit de m'en sortir mais j'avoue que c étais très difficile , je suppliais pour ma dose tout en me trainants par terre en embrassant les pieds de ma mère .... mais c'étais une femme dure elle restais prés de moi dans mes cauchemars sans médicament sans piqure sans ma dose et a vrais dire .. que ce n'étais pas ma faute, je ne voulais rien essayer , ne vous imaginez pas que c'est ces truc qui trainent aujourd'hui dans nos jeunes !!! non .. c étais pire .....ca devenais encore plus pire avec la vie de ma sœur, divorcée avec deux enfants, elle voulais faire sa vie .. après le 1 divorce elle s'en foutais de tout ... enfin ca c'est bien du passé.. ma mère est partie en 1990, j'étais déjà mariée avec  deux enfants , son cancer je l'ai appris un jours avant d'aller accoucher mon fils Mario ... ma sœur avais refais un mariage qui a duré a peu prés un ans et s'est re-divorcé... quand a mes frère ca me semble inutile d'en parler car je ne les a pas mit dans ceux texte ... en 2001 ma sœur a fais son troisième mariage avec son premier mari , le père de ses enfants .. son grand fils déjà tombé dans la drogue ... mon père après un grand coup d'alcool et frappé par mon gendre appris qu'il étais malade de cette maladie du siècle , il s'est reposé en 2005... maintenant 2011 ma sœur encore une fois divorcée reste avec ses enfants et.... ma rage d'aujourd'hui c'est que mes propres batailles pour la différence de l'âge , la grande différence entre femme et homme que pour avoir quelqu'un a partager son corps , se retourne sur mon dos car ma sœur , ma propre sœur n'a pas su respecter son âge le fait qu'elle a six petits enfants dont les trois sont a l'orphelinat ......ca c'est moi .... Eva ..

5-------- la maladie



sa manifestation de toutes ses épreuves nos épreuves ... le docteur lui avais dit que mon état étais très sensible .. il ne fallait a tout pris pas m'attrister car ca serrais le commencement de la fin pour mes cheveux .. et j'étais demoiselle ... 
enfin ... c'étais le résultat du divorce qui m'a couté car elle ne voulais jamais entendre , elle avais les oreilles fermé , elle voulais partir de la maison et c'étais sa seule solution: le mariage , elle voulais faire sa vie , elle ne voulais pas être sous la surveillance des parents .. et ... elle a fais sa vie.....mais a quoi bon ... le résultat étais le mien ... des années de traitements, des piqures sur la tète , des tranquillisant ( je ne sais pas si ca s'appelle comme ca).. j'étais drogué par les médicament et j'en prenais ... j'en prenais ... toujours plus que le docteur autorisais , je croyais que cela me faisait du bien , je n'entendais plus rien même pas les bagarre de mon père son alcool , les cris et leur vie autour de moi ..... j'étais pour moi même ..une bête sauvage ... mais toujours dans ma maison ... toujours prés de ma mère qui pleurée sans cesse et damné notre chance, notre destin .... personne ne comprenais.. personne ne voulais comprendre ... ni même pas mon père .. mon propre pere ..combien je l'aimais mon père .. malgré son caractère moi je l'aimais jusque la haine , un sentiment que encore il m'est difficile a l'expliquer .. je voulais le connaitre, l'alcool l'avais déguisé a une autre personne , ce n'étais pas lui dont ma mère avait aimé ... moi toujours dans ma misère et mes médicament j'étais une morte vivante .. je ne parlais que peu ... je ne manger presque pas ... je ne voyais personne autour de moi.. je refusais de me regarder au miroir , me maquillais ca changerais quoi ????j'étais une jeune de 19 ans, vielle de 100 ans  ... mais a vrais dire que mon cœur voulais .. et mon âme pleurais.. et mon sourire triste voulais dire a ma mère que la tout est fini ... j'arrête tout médicament, traitement, tout piqure cela étais inutile.. de continuer de me tuer peu a peu .. il faillais a tout sorte que je me retire de cet enfer .. chauve ou pas tel étais mon destin.. c'étais une épreuve dans ma vie , une bataille de damne entre dieu et moi .. ou je perd ou gagne ma vie ..... cela a duré 4 ans , quatre années de plus .. j'étais 23 ans .


 a 23 ans l'âge de ma fille maintenant.. on a pas beaucoup a pensée le pourquoi et le comment.. on ne pense a rien.. 
mais moi je voulais finir , finir a souffrir , a voir ma mère pleurer tant de souffrance dans sa vie ca ne lui méritait pas .. 
armé de mon dernier courage , j'ai tout jeter et j'ai appris dans ma vie a lire , lire le grec, lire les gens , me méfier de tout et de tous mais pas de mon cœur , mon âme , étais encore trop sensible et surtout pour les miens ... mais je savais le bien et le mal je connaissais mon chemin , ma destiné , je savais ce que je voulais ... je savais me battre et je me disais après tout les cheveux ne font pas l'être humain , l'âme , le cœur .. armé de mes dernière force et l'espoir de voir ma mère heureuse de moi , je me suis enfin retirer de cette route qui malgré moi me conduisais dans des mauvais chemin toujours sous l'ordonnance du docteur .... 
et me voila ici dans la cinquantaine , encore sans cheveux , mais pas la peine de m'attrister , car je suis bien comme ca je suis moi ....et je vie ....entrain d'écrire ce délire de mots que pour me justifié pour mes poèmes , mes rages ou mes colères , mes opinions et mes coutumes , l'éducation de ma mère qui me disais étant jeune .." regarde écoute mais ne parle pas .. pas encore mais achète des mots, achète des pensé , vois les fautes passer et a ton âge tu t'en servira comme exemple .. regarde l'image apprend a la lire , une photo a mille mots a te dire , elle peut cacher mille secret entre ses couleurs et sourire ... sache les yeux a distinguer , tu peux les entendre  ils veulent te parler " ma maman , elle me manque tant !!!! 
quand a ma sœur ... elle est marié et divorcé trois fois dont les troisieme mariage et divorce avec le père de ses enfants , elle n'a jamais appris a lire les gens ... a distinguer le bien et le mal ... mais je l'aime énormément et la pardonne pour toutes méchanceté dont elle a pu me dire .. je n'ai envié la vie de personne.. j'aime ma vie , j'aime mes épreuves , j'aime mes batailles qui me font plus forte pour mes enfants ...  et excuser moi si j'étais un peu fatigante mais une vie de 50 ans ne se raconte pas dans certaine ligne .......




4----------retour a la patrie





après 34 ans , je me demande maintenant Quesque ca aurait étais mieux .. la vie dont on aurais fait en France ? 
ou celle la d'ici .. qui sais ...mais voila ... après chaque pleurs de ma mère elle nous racontais des histoires du pays comment elle avais laissé la Grèce , les coutumes , le savoir vivre des grec .. le respect que les jeunes avaient au gens âgés , les quartiers ou le soir les gens se rassemblaient et étaient tous amical être eux ... on devenais un ... 
la mer , le ciel et le soleil .. toujours cette lueur qui brillait au ciel  .. et la vie ....
 le 25 juin 77, nous voila en Grèce sous ce soleil chaud qui brulait la terre , je me demandais comment pourrais-je vivre la 
dans cet enfer de chaleur , moi qui étais habituer a la neige , la Pluit , le froid ... c'étais trop compliqué pour moi ...
mais c'étais un vrais tableau de pastel, la mer parfois bleu , parfois au fond la couleur changeait et faisait sa noce avec le ciel .. les montagnes avec sa parure verte qui s'adoptais comme témoin dans tout ca ... et je me disais on va essayer de survivre grâce a maman ... toujours grâce a elle .... oui mais, moi je ne connaissais pas le grec!!!!!!!!!!!!!!!!!je comprenais seulement et que quelque mots tous juste pour pouvoir me comprendre quand on venais en Grèce pour nos vacances de 20 jours .... a vrais dire je n'étais jamais a l'aise , peut être a cause de moi même .. 
le jours de la connaissance du jeune pour ma sœur étais venu ...j'avais appris de lire les gens.. je ne sais pas comment l'expliquer mais je pouvais les décrire et savoir au fond ce qu'ils pensaient seulement par leur regard .. et a vrais dire je n'aimais pas tellement ca .. ce sentiment me tuait la plus part des fois car j'avais toujours ou presque raison ... j'avais appris grâce a ma maladie d'être méfiante AVEC TOUS ... 
ma sœur devenue une jolie femme, vraiment très jolie ne pouvais rien faire que d''accepter ces fiançailles a premier vue..
moi il me semblais que quelque chose ne collait pas et j'aimais pas la figure du jeune ... enfin c'étais sa vie et sa décision qui compter, pas la mienne, j'étais trop petite pour pouvoir donner mon avis sur ce sujet .... 
15 jours après les fiançailles , mon père aillant appris des choses sur ce jeune homme , surement pas bonne , lui a dit de rompre mais elle , têtue de naissance avec le même caractère de mon père .. a refusé et accélérer le mariage.. un mariage de deux ans et demi.. une liaison qui a laissé deux enfant derrière lui ... 
quand a ma mère, la pauvre elle devais se battre sa chance , celle de mon père et ses grand default du petit qui grandissait et suivait un chemin déjà malfaisant .. et le mien qui déjà assez grande j'avais mes grands problèmes de jeune fille..toujours par apparence, mon aspect, qui ne montrais rien de beau....avec des traitements meticals ....j'avais que 17 et demi ..Pour une jeune fille qui avais soif de la vie mais emprisonnée dans cette foutue de maladie personne la regarder ..... 
encore une fois , je ne m'étais pas trompé pour le mari de ma sœur et le divorce  très vite Fu son apparence ... un problème encore sur le dos de ma mère ... une divorcée , deux petits ,et nous autre ....mais ce n'étais pas tous le lendemain encore un coup de foudre vient frapper notre porte ...
le matin est venu ensoleiller comme toujours ...mais pour les autres .... moi dans mon réveille j'avais mes cheveux dans mes mains............rien.......pas ...plus ...un cheveux sur ma tète ... ni de poil sur les bras ..... ni sourcils....ni....ni......un monstre réelle......un être dépouiller........c'étais en 1980.....
Pas de rêve ... mais seulement réalité dur mais réalité .... je ne me plaint pas ... mais j'aime voir les choses comme elle sont.. Peut être que je cherche dans ce que j'écris une raison, une faute ... quelque chose quoi qui a marqué cette vie .... le pourquoi et le comment..
je pense encore de ce jour .... un jour cruel, mais réel.. je n'avais plus rien sur ma nuque ... une chauve, j'avais peur de me regarder dans le miroir, mais après tous mon miroir étais les yeux de ma mère qui reflétait sa peur , sa rage , sa colère , 

3--- en france..


il le fallait bien apprendre cette étrange pour moi langue car je me replié sur moi , je me cachée de tous et de rien , j'étais amie avec moi même et une amie dont je nommer mélancolie ... un jour , ou plutôt un soir ,soir de noël.. c'était un soir que je ne peu oublié .. il sera a toujours marqué dans mon âme comme un gant qui ne peu plus me quitter .... je n'étais pas grande ni a l'âge mais ni a la hauteur .. j'avais trois ans , les cheveux a moitié long mais très bouclés de couleur d'ébène ... ma tante ou ma mère étais ce ? me souvient plus .. ce détail m'échappe ... me caressait les cheveux ou d'un coup .. une touffe de boucle étais resté entre les doigts de cette main qui tremblée de peur .. 
moi selon mon âge d'enfant qui  ne se doutais de rien ...je ne voyais pas pourquoi cette peur dans les yeux de ma mère , je m'imaginais que c'étais sans doute encore une dispute avec mon père , qui n'avais pas laissé les jeux de chance (tiercé)
mais aussi que c'étais un peu a cause de moi ? car tous me regardaient le trouble dans le regard se voyais un trouble de question et de peur , qui se jetais sur ma tête , et les boucles laissé sur la main de ma mère....
mes jours continuait normalement .. a la maternelle comme d'habitude .. les enfants ne comprenais pas la différence d'être étranger .. la croyance de la couleur étais la même .. les blancs avec les blancs était les mêmes..... mais l'accent du langages n'étais pas semblable avec leur sien .....et en plus tous me regardé curieusement et des petits sourires ironique je peux dire maintenant se dessiné sur leur petite bouche ... et leur petit doigt montrais bizarrement le derrière de ma tète.. je ne savais pas pourquoi .. et moi gêné de cette situation je m’éloigné, avec des sanglots aux yeux ....
personne ne pouvais m'expliquer , seulement ils me criaient que quelqu’un m'avais arraché les cheveux au derrière de ma tète ...... 
je me souviens que quelques enfants la plupart étais des filles qui était prés de moi , mais elles aussi des fois laisser partir un sentiment d'angoisse non expliqué ...de cette année je me rappelle ... il n y a presque rien a se rappeler ..oui deux ou trois fillettes ... mais une d'elle étais toujours prés de moi , ma domie .. enfin 
toute mes journées se roulait comme ca .... enfin , peut être que je n'avais pas compris mes parents que mes parents cherchaient pour un docteur ..dermatologue .. je ne comprenais pas bien aussi le grec ... dans mon esprit , mon petit esprit d'antant j'avais mélangé les langages : comprendre grec , cesser de parler l'allemand et apprendre le français !


quelle confusion ! ma cervelle étais devenue comme des œufs brouillés....
a la maison .. les choses n'étais pas mieux ... ayant quitter le quartier très cloitre ou on demeurait avec ma tante .. 
on a trouver une maison prés de la tannerie de l'Isère rue lachmann .. je crois que c'étais le 12 ou 14 , c'étais tout juste sur le coin de la rue avant de la traverser pour aller a l'usine , tout en face de la chaudière ou travaillé mon père , a la deuxième étage , je ne rien oublié ou presque , les nom peut être mais je crois aussi que le nom de notre loueur étais monsieur Donnadieu si je ne me trompe pas ... on étais trois familles.. mme cardinal avec son fils Jean-Pierre qui s'est fait ami avec mon frère et au dessous de nous étais madame vitali , une italienne qui lui rendais visite de temps en temps son petits fis .. je ne me souvient pas de qui , de sa fille ou de son fils cela m'échappe .... 
c'étais l'année dont je suis allée a l'école primaire ... je commencer a comprendre ce qui m'arriver , a moi , a mes cheveux bouclés , et aux autres qui me regarder encore comme si cela pouvais être la crainte pour eux .. peut être qu'ils avais peur de coller car ils ne rater pas l'occasion de ce moquait de moi .
et moi je me renfermer toujours , je mettais des barrages autour de moi , je construisais des forteresses pour que rien ne puisse me dommager , mais malgré ca je n'oubliais pas que j'avais a peine 7 ans .. et mon cœur voulais aussi jouer comme un enfants de cette âges , mais leurs rires , leur ironie sur leur regards et ces petits groupe qui ce formait et me regardais comme si j'avais la lèpre , une maladie contagieuse ... non ce n'étais pas mon idée ....
le temps continuer a rouler pour eux normalement , mais pour moi c'étais une galère , une bataille psyquologique entre le temps , eux, les docteurs , les thérapie , mes cheveux et moi ... je grandissais et cette sorte de maladie qui s'est collé sur moi comme une ventouse qui ne pouvais pas me laisser grandissait aussi avec moi ....
je voyais mon frère et sœur , je constatais leur cheveux , j'admirais ceux de ma sœur qui touchais ces fesses , longs et tricolore ... ils étaient beaux et elle le savais ... elle se miroitais devants le miroir comme une star de cinéma .. 
après ces souvenir je me demande bien si j'étais un peu jalouse d'elle ? si j'enviais la plus belle chose qu'elle avais sur elle ses cheveux ... je ne suis pas sure .. mais je ne crois pas que je ressentais de la jalousie ...c'étais une admiration ,une chose dont je me battais a avoir que pour pouvoir m'adapter dans le groupe des gens normal...
et ses traitements que j'étais obligée a faire "neige carbonisé «quelle brulure sur ma peau ..
j'étais devenu une petite bête non apprivoisé.. j'avais mes pensées.. j'avais mes chagrins.. les larmes de ma mère étais pour moi tout ce que j'avais au monde , et les histoires de mon père devenais de plus en plus profondes .. jupons , alcool, jeux, et dispute a la maison .. c'étais de pire en pire .. 
notre loisir étais que les vacances , les 20 jours en Grèce ou on ne laisser jamais a grand papa et grand maman de deviner ce qui se passais avec leur fils et ma mère .. 
elle avais pourtant trouvé sa vrais famille , elle avais frères et sœurs , une grande tribu , mais elle croyais comme moi : mère n'est pas c'elle qui met un enfant dans le monde , mais c'elle qui le grandit .. et n'a jamais accepter de la rencontrer
seulement quand la dernière mourrais l'avais invité d'aller a son chevet .. ma mère après beaucoup de pensée , elle ne voulais pas voyez vous que ses enfants la juge.. elle voulais connaitre, demander pourquoi l'avoir laissé , elle seulement et garder sa sœur ..elle a couru prés d’elle.. mais la aussi la porte étais fermé par ses frères et sœurs .. 





l'alcool sur mon père faisais des traces très marquante, mais c étais toujours un père qui essayer tout d'abord de remplir les placards de sa maison et après il s'en foutais .. il regardais son plaisir ... et le temps coulais et avec celui si venais de s'ajouter encore un petit bébé , le petit ... on est fermer le groupe d'enfant deux garçons et deux filles....le premier étais devenu un jeune petit bonhomme de 15 ans , la deuxième un jolie demoiselle , de 14 ans moi qui malgré mes années de 9 ans je me croyais toujours vielle , renfermé dans ma maison de tortue .. et le bébé...
quand a ma sœur , je crois que sa beauté lui a couté cher ... avec un plâtre tout le long de sa colonne vertébrale ... ou elle jouer trop la coquette ou s'étais par jalousie que les filles de sa classe l'on jeté sur un tronc d'arbre glacé.....et tout ca sur le dos de ma pauvre maman .. le travaille ou elle devais s'arrêter , 4 enfants c étais déjà trop pour continuer , le boulot , la surveillance des petits la maison , le mari et toutes ces galères .... elle ne pouvais ni avancer ni reculer .... tout juste continuer ........ 
quand a moi .. je continuer a être la lépreuse des envies de moquerie  des enfants pour les recréations de l'école , j'étais une bête sauvage et blizzard a leur yeux une âme puante comme ils , si bien m'appeler ..... 
que  de souvenir.. la plus grande part blessants..sans amis, sans pouvoir connaitre l'amitié .. tous m'éviter même les filles , certaine faisait comme ils leur disais , certaine d'autre que pour pénétrer dans certain groupe les suivais ... et des autres qui avais peur !!! peur de ne pas coller ..  ...tout ca m'avais  arraché le cœur ...et je restais seule entrain de pleurer dans mon silence.. et damner ma chance ... damner ma marraine de fée qui étais venue sur mon berceau et m'avais ensorcelé.......et je grandissait ... je devenais petite demoiselle mais avec une faute sur moi qui ma sœur ne l'avais pas .. encore plus voyante cette maladie m'avais faite amie avec ma mélancolie ... les choses a la maison de plus en plus grave ... ma sœur grande mademoiselle déjà , voulais tous et rien ... elle travaillais avec mon père et mon frère qui lui aussi s'en aller peu a peu de l'adolescence ....

cette époque on avais déménagé pour une maison plus grande rue de la magnanerie 30 ... une petite maisonnette .. toujours prés de l'usine.. et toujours prés de l'Isère ... 
j'ai commencer le lycée , mais la bas aussi les choses étais de plus en plus dure ... je n'étais pas une fille comme les autres 
j'étais la lèpre ... j'étais la maladie ... personne ne s'approchait de moi .. la seule personne que j'avais c'étais ma mère .. ni mon père car il étais plongé au travaille , au jeux et chez la blonde , un café bar qui se trouvais prés du bureau tabac .. un peu plus haut de chez nous ... 
chaque fois qu'il y avais des disputes a la maison on pouvais le retrouver la bas ... c'étais sa deuxième maison ....avec toute ses épreuves sur mon dos les années passèrent comme passe une journée , une semaine , un mois .. je n'ai pas connue l'âge doux, tendre , ou une jeune fille pouvais avoir .. je ne voulais pas .. et après tout je le voyais de ma sœur .. et ne voulais pas chagriner plus qu'ils étais les yeux de ma mère .. et comme ca on est venu dans l'année 1977 
la grande année du grand final de notre voyage en France ....j'étais en 3eme lycée Stendhal.. aux examens ils nous fallait que deux jours pour terminer ... je voulais aller aux beaux art.. c étais mon rêve , la couleur , la peinture , les tableaux, ma vie ....c'étais la que je trouvais ma beauté perdu .. mes cheveux bouclées qui étaient devenu désormais comme des ficelles sale, déformais .. les docteurs en ces années ne trouvais pas de remède ... ils ne savaient pas d'ou cela pouvais venir .. ils étais très étonnés .. car les miens ils étaient en pleine formes ... et ma sœur faisait tout pour que je la remarque .....
mon père fatigué de sa vie en France loin de sa famille (frères et sœurs).. voulais a tout pris revenir a sa patrie ...sas trop bien le penser.. sans personne a demander la décision a était prise .. on laisse tous en arrière, travaille , maison et tous ce qu'on  a pu faire toutes ces années et retour en Grèce .. 
je n'avais pas encore terminer mes examens que cette nouvelle est tomber comme un couteau tranchant dans mon cœur .. encore une fois il me faillais tout apprendre depuis le début .. sans savoir le langage , le pays , étrangère dans l'étranger , c'est comme ca qu'on se ressentait nous les enfants...
France Grenoble 22 juin 1977.....la jour de notre adieu en France .. mon dieu c'étais le plus difficile ... le plus étrange de tout les jours de ma vie .. je me sentais je crois que c'étais aussi de même pour la famille .. on laissait une vie entière derrière nous ...on étais des fleurs fragile déracinés pour les plantés dans une autre terre... 




au fait je crois que même si jamais de la vie je pourrais avoir des amis , mon cœur est encore a Grenoble.. mon enfance , dur mais c'étais mon enfance... on me demandait toujours de faire quelque choses .. de ne pas parler , d'accepter d'apprendre , d'accepter la situation de ma maladie , d'accepter les moqueries et de ne pas leur donner attention ... mais maintenant on me demander d'accepter de me déraciner une deuxième fois , et toujours sans avoir notre permission .. enfin ..il fallait suivre la décision du père ... une décision qui étais prise que pour ne pas laisser ma sœur seule en Grèce , car la famille de mon père , lui avais trouvé un jeune homme pour la marier....elle avais 21 ans ... trop de problème pour une jeune qui devais garder le respect de son nom .. elle étais jeune , belle , sans problème de santé et elle faisait sa petite ou grande d'après moi révolution , il fallait a tout pris selon mon père l'arrêter et la marier avec un jeune de sa patrie , l'adapter a un mariage avec un inconnu... oui c'est ca les grecs d'antan ... mais il fallait aussi que la jeune soit a la patrie et reste avec son futur mari , et mon père comme il étais plus penché sur elle , il ne voulais pas la savoir loin de lui , lui en France avec la famille et elle , en Grèce avec un inconnu selon lui ....sans penser aux autre ce qu'on voulais sa décision étais déjà prise .. aime ou aime pas , cela faisait la même chose pour lui .. moi je n'étais qu'une adolescente de 16 ans ..je n'avais pas trop a dire .. et en plus je n'étais qu'une handicapé ( a la chevelure ) que personne ne me regarder , personne ne pouvais faire une relation avec moi car je n'étais pas belle ... physiquement j'avais toujours ce manque du détail de la beauté..
les bagages étais peu .. les paquets que des choses très utiles.. on recommençait pour la troisième fois notre ménage du début ... trois jours et nuit a duré notre voyage, trois jours et nuits dans les pleurs de ma vie misérable peut être mais c'étais un morceau de ma vie qui restais la bas .. j'étais assez grande pour comprendre que je n'étais qu'un monstre chauve.. sans un poil sans chevelure ou encore presque sans chevelure....