vendredi 29 avril 2011

3--- en france..


il le fallait bien apprendre cette étrange pour moi langue car je me replié sur moi , je me cachée de tous et de rien , j'étais amie avec moi même et une amie dont je nommer mélancolie ... un jour , ou plutôt un soir ,soir de noël.. c'était un soir que je ne peu oublié .. il sera a toujours marqué dans mon âme comme un gant qui ne peu plus me quitter .... je n'étais pas grande ni a l'âge mais ni a la hauteur .. j'avais trois ans , les cheveux a moitié long mais très bouclés de couleur d'ébène ... ma tante ou ma mère étais ce ? me souvient plus .. ce détail m'échappe ... me caressait les cheveux ou d'un coup .. une touffe de boucle étais resté entre les doigts de cette main qui tremblée de peur .. 
moi selon mon âge d'enfant qui  ne se doutais de rien ...je ne voyais pas pourquoi cette peur dans les yeux de ma mère , je m'imaginais que c'étais sans doute encore une dispute avec mon père , qui n'avais pas laissé les jeux de chance (tiercé)
mais aussi que c'étais un peu a cause de moi ? car tous me regardaient le trouble dans le regard se voyais un trouble de question et de peur , qui se jetais sur ma tête , et les boucles laissé sur la main de ma mère....
mes jours continuait normalement .. a la maternelle comme d'habitude .. les enfants ne comprenais pas la différence d'être étranger .. la croyance de la couleur étais la même .. les blancs avec les blancs était les mêmes..... mais l'accent du langages n'étais pas semblable avec leur sien .....et en plus tous me regardé curieusement et des petits sourires ironique je peux dire maintenant se dessiné sur leur petite bouche ... et leur petit doigt montrais bizarrement le derrière de ma tète.. je ne savais pas pourquoi .. et moi gêné de cette situation je m’éloigné, avec des sanglots aux yeux ....
personne ne pouvais m'expliquer , seulement ils me criaient que quelqu’un m'avais arraché les cheveux au derrière de ma tète ...... 
je me souviens que quelques enfants la plupart étais des filles qui était prés de moi , mais elles aussi des fois laisser partir un sentiment d'angoisse non expliqué ...de cette année je me rappelle ... il n y a presque rien a se rappeler ..oui deux ou trois fillettes ... mais une d'elle étais toujours prés de moi , ma domie .. enfin 
toute mes journées se roulait comme ca .... enfin , peut être que je n'avais pas compris mes parents que mes parents cherchaient pour un docteur ..dermatologue .. je ne comprenais pas bien aussi le grec ... dans mon esprit , mon petit esprit d'antant j'avais mélangé les langages : comprendre grec , cesser de parler l'allemand et apprendre le français !


quelle confusion ! ma cervelle étais devenue comme des œufs brouillés....
a la maison .. les choses n'étais pas mieux ... ayant quitter le quartier très cloitre ou on demeurait avec ma tante .. 
on a trouver une maison prés de la tannerie de l'Isère rue lachmann .. je crois que c'étais le 12 ou 14 , c'étais tout juste sur le coin de la rue avant de la traverser pour aller a l'usine , tout en face de la chaudière ou travaillé mon père , a la deuxième étage , je ne rien oublié ou presque , les nom peut être mais je crois aussi que le nom de notre loueur étais monsieur Donnadieu si je ne me trompe pas ... on étais trois familles.. mme cardinal avec son fils Jean-Pierre qui s'est fait ami avec mon frère et au dessous de nous étais madame vitali , une italienne qui lui rendais visite de temps en temps son petits fis .. je ne me souvient pas de qui , de sa fille ou de son fils cela m'échappe .... 
c'étais l'année dont je suis allée a l'école primaire ... je commencer a comprendre ce qui m'arriver , a moi , a mes cheveux bouclés , et aux autres qui me regarder encore comme si cela pouvais être la crainte pour eux .. peut être qu'ils avais peur de coller car ils ne rater pas l'occasion de ce moquait de moi .
et moi je me renfermer toujours , je mettais des barrages autour de moi , je construisais des forteresses pour que rien ne puisse me dommager , mais malgré ca je n'oubliais pas que j'avais a peine 7 ans .. et mon cœur voulais aussi jouer comme un enfants de cette âges , mais leurs rires , leur ironie sur leur regards et ces petits groupe qui ce formait et me regardais comme si j'avais la lèpre , une maladie contagieuse ... non ce n'étais pas mon idée ....
le temps continuer a rouler pour eux normalement , mais pour moi c'étais une galère , une bataille psyquologique entre le temps , eux, les docteurs , les thérapie , mes cheveux et moi ... je grandissais et cette sorte de maladie qui s'est collé sur moi comme une ventouse qui ne pouvais pas me laisser grandissait aussi avec moi ....
je voyais mon frère et sœur , je constatais leur cheveux , j'admirais ceux de ma sœur qui touchais ces fesses , longs et tricolore ... ils étaient beaux et elle le savais ... elle se miroitais devants le miroir comme une star de cinéma .. 
après ces souvenir je me demande bien si j'étais un peu jalouse d'elle ? si j'enviais la plus belle chose qu'elle avais sur elle ses cheveux ... je ne suis pas sure .. mais je ne crois pas que je ressentais de la jalousie ...c'étais une admiration ,une chose dont je me battais a avoir que pour pouvoir m'adapter dans le groupe des gens normal...
et ses traitements que j'étais obligée a faire "neige carbonisé «quelle brulure sur ma peau ..
j'étais devenu une petite bête non apprivoisé.. j'avais mes pensées.. j'avais mes chagrins.. les larmes de ma mère étais pour moi tout ce que j'avais au monde , et les histoires de mon père devenais de plus en plus profondes .. jupons , alcool, jeux, et dispute a la maison .. c'étais de pire en pire .. 
notre loisir étais que les vacances , les 20 jours en Grèce ou on ne laisser jamais a grand papa et grand maman de deviner ce qui se passais avec leur fils et ma mère .. 
elle avais pourtant trouvé sa vrais famille , elle avais frères et sœurs , une grande tribu , mais elle croyais comme moi : mère n'est pas c'elle qui met un enfant dans le monde , mais c'elle qui le grandit .. et n'a jamais accepter de la rencontrer
seulement quand la dernière mourrais l'avais invité d'aller a son chevet .. ma mère après beaucoup de pensée , elle ne voulais pas voyez vous que ses enfants la juge.. elle voulais connaitre, demander pourquoi l'avoir laissé , elle seulement et garder sa sœur ..elle a couru prés d’elle.. mais la aussi la porte étais fermé par ses frères et sœurs .. 





l'alcool sur mon père faisais des traces très marquante, mais c étais toujours un père qui essayer tout d'abord de remplir les placards de sa maison et après il s'en foutais .. il regardais son plaisir ... et le temps coulais et avec celui si venais de s'ajouter encore un petit bébé , le petit ... on est fermer le groupe d'enfant deux garçons et deux filles....le premier étais devenu un jeune petit bonhomme de 15 ans , la deuxième un jolie demoiselle , de 14 ans moi qui malgré mes années de 9 ans je me croyais toujours vielle , renfermé dans ma maison de tortue .. et le bébé...
quand a ma sœur , je crois que sa beauté lui a couté cher ... avec un plâtre tout le long de sa colonne vertébrale ... ou elle jouer trop la coquette ou s'étais par jalousie que les filles de sa classe l'on jeté sur un tronc d'arbre glacé.....et tout ca sur le dos de ma pauvre maman .. le travaille ou elle devais s'arrêter , 4 enfants c étais déjà trop pour continuer , le boulot , la surveillance des petits la maison , le mari et toutes ces galères .... elle ne pouvais ni avancer ni reculer .... tout juste continuer ........ 
quand a moi .. je continuer a être la lépreuse des envies de moquerie  des enfants pour les recréations de l'école , j'étais une bête sauvage et blizzard a leur yeux une âme puante comme ils , si bien m'appeler ..... 
que  de souvenir.. la plus grande part blessants..sans amis, sans pouvoir connaitre l'amitié .. tous m'éviter même les filles , certaine faisait comme ils leur disais , certaine d'autre que pour pénétrer dans certain groupe les suivais ... et des autres qui avais peur !!! peur de ne pas coller ..  ...tout ca m'avais  arraché le cœur ...et je restais seule entrain de pleurer dans mon silence.. et damner ma chance ... damner ma marraine de fée qui étais venue sur mon berceau et m'avais ensorcelé.......et je grandissait ... je devenais petite demoiselle mais avec une faute sur moi qui ma sœur ne l'avais pas .. encore plus voyante cette maladie m'avais faite amie avec ma mélancolie ... les choses a la maison de plus en plus grave ... ma sœur grande mademoiselle déjà , voulais tous et rien ... elle travaillais avec mon père et mon frère qui lui aussi s'en aller peu a peu de l'adolescence ....

cette époque on avais déménagé pour une maison plus grande rue de la magnanerie 30 ... une petite maisonnette .. toujours prés de l'usine.. et toujours prés de l'Isère ... 
j'ai commencer le lycée , mais la bas aussi les choses étais de plus en plus dure ... je n'étais pas une fille comme les autres 
j'étais la lèpre ... j'étais la maladie ... personne ne s'approchait de moi .. la seule personne que j'avais c'étais ma mère .. ni mon père car il étais plongé au travaille , au jeux et chez la blonde , un café bar qui se trouvais prés du bureau tabac .. un peu plus haut de chez nous ... 
chaque fois qu'il y avais des disputes a la maison on pouvais le retrouver la bas ... c'étais sa deuxième maison ....avec toute ses épreuves sur mon dos les années passèrent comme passe une journée , une semaine , un mois .. je n'ai pas connue l'âge doux, tendre , ou une jeune fille pouvais avoir .. je ne voulais pas .. et après tout je le voyais de ma sœur .. et ne voulais pas chagriner plus qu'ils étais les yeux de ma mère .. et comme ca on est venu dans l'année 1977 
la grande année du grand final de notre voyage en France ....j'étais en 3eme lycée Stendhal.. aux examens ils nous fallait que deux jours pour terminer ... je voulais aller aux beaux art.. c étais mon rêve , la couleur , la peinture , les tableaux, ma vie ....c'étais la que je trouvais ma beauté perdu .. mes cheveux bouclées qui étaient devenu désormais comme des ficelles sale, déformais .. les docteurs en ces années ne trouvais pas de remède ... ils ne savaient pas d'ou cela pouvais venir .. ils étais très étonnés .. car les miens ils étaient en pleine formes ... et ma sœur faisait tout pour que je la remarque .....
mon père fatigué de sa vie en France loin de sa famille (frères et sœurs).. voulais a tout pris revenir a sa patrie ...sas trop bien le penser.. sans personne a demander la décision a était prise .. on laisse tous en arrière, travaille , maison et tous ce qu'on  a pu faire toutes ces années et retour en Grèce .. 
je n'avais pas encore terminer mes examens que cette nouvelle est tomber comme un couteau tranchant dans mon cœur .. encore une fois il me faillais tout apprendre depuis le début .. sans savoir le langage , le pays , étrangère dans l'étranger , c'est comme ca qu'on se ressentait nous les enfants...
France Grenoble 22 juin 1977.....la jour de notre adieu en France .. mon dieu c'étais le plus difficile ... le plus étrange de tout les jours de ma vie .. je me sentais je crois que c'étais aussi de même pour la famille .. on laissait une vie entière derrière nous ...on étais des fleurs fragile déracinés pour les plantés dans une autre terre... 




au fait je crois que même si jamais de la vie je pourrais avoir des amis , mon cœur est encore a Grenoble.. mon enfance , dur mais c'étais mon enfance... on me demandait toujours de faire quelque choses .. de ne pas parler , d'accepter d'apprendre , d'accepter la situation de ma maladie , d'accepter les moqueries et de ne pas leur donner attention ... mais maintenant on me demander d'accepter de me déraciner une deuxième fois , et toujours sans avoir notre permission .. enfin ..il fallait suivre la décision du père ... une décision qui étais prise que pour ne pas laisser ma sœur seule en Grèce , car la famille de mon père , lui avais trouvé un jeune homme pour la marier....elle avais 21 ans ... trop de problème pour une jeune qui devais garder le respect de son nom .. elle étais jeune , belle , sans problème de santé et elle faisait sa petite ou grande d'après moi révolution , il fallait a tout pris selon mon père l'arrêter et la marier avec un jeune de sa patrie , l'adapter a un mariage avec un inconnu... oui c'est ca les grecs d'antan ... mais il fallait aussi que la jeune soit a la patrie et reste avec son futur mari , et mon père comme il étais plus penché sur elle , il ne voulais pas la savoir loin de lui , lui en France avec la famille et elle , en Grèce avec un inconnu selon lui ....sans penser aux autre ce qu'on voulais sa décision étais déjà prise .. aime ou aime pas , cela faisait la même chose pour lui .. moi je n'étais qu'une adolescente de 16 ans ..je n'avais pas trop a dire .. et en plus je n'étais qu'une handicapé ( a la chevelure ) que personne ne me regarder , personne ne pouvais faire une relation avec moi car je n'étais pas belle ... physiquement j'avais toujours ce manque du détail de la beauté..
les bagages étais peu .. les paquets que des choses très utiles.. on recommençait pour la troisième fois notre ménage du début ... trois jours et nuit a duré notre voyage, trois jours et nuits dans les pleurs de ma vie misérable peut être mais c'étais un morceau de ma vie qui restais la bas .. j'étais assez grande pour comprendre que je n'étais qu'un monstre chauve.. sans un poil sans chevelure ou encore presque sans chevelure....



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